Khazad-Dûm, c’est le nom de mon NAS. Et dans un précédent billet, je disais :

Bien entendu, l'Odroid posée à l'arrache et le support à disque dur en carton sont tout à fait définitivement temporaires. Ou temporairement définitif. Ça dépendra du temps que je mets à faire un vrai boitier plus propre, un peu comme celui des RPi.

Si j’en crois la date de parution du billet en question, il ne m’aura fallu qu’un an et quelques mois pour faire la version plus propre. Mieux vaut tard que jamais :p

Pour ce boitier j’ai utilisé des profilé aluminium précoupés MakerBeam en 10×10 mm. Ça coûte horriblement cher (~100 € la boite), mais c’est ô combien satisfaisant <3

Pour les panneaux latéraux, j’ai commandé du plexiglas transparent. Ici un panneau de 500×500 mm (20 €) est suffisant.

Le ventilateur provient de précédent glanage, c’est un 100×100 mm.

Pour favoriser le refroidissement du boitier, j’opte pour un couloir formé des deux disques durs de chaque coté avec l’Odroid au bout. Un ventilateur sur le dessus extrait l’air.

Le SSD est ventilé par l’arrière, avec un flux d’air qui provient de sous le boitier via un trou dans le plexi.

Les panneaux latéraux sont découpés au laser dans le fablab de mon école, mon coloc y ayant encore accès. Le fichier de découpe (OpenSCAD est disponible ici → Boitier.scad).

Dernier détail, des patins autocollants pour légèrement surélever le tout et éviter les vibrations dûes aux disques mécaniques. En pratique y’en a presque pas, mais bon quitte à faire propre autant le faire jusqu’au bout.

Et une fois dans l’armoire électrique, tout rentre sans aucun problème. Ça bougera plus vraiment maintenant :)

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